Nous faisons tous des bourdes. Certaines sont sympathiques et sans danger. Mais, dans le cadre d'un recherche d'emploi, il existe quelques belles grosses bourdes capables de ruiner l'espoir de se repositionner rapidement.
Examinons les dix plus connues.
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Dix grosses bourdes pour être sûr de ralentir efficacement votre recherche d'emploi
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Zozos, rigolos et autres zéros du Réseau : vous reprendrez bien quelques boulettes ?
J'aime les zozos, rigolos et autres zéros du Réseau car ils représentent une source d'anecdotes fort utile pour les conférences que je donne sur le Networking.
En effet, leurs boulettes me permettent de transmettre efficacement, en creux, les bonnes pratiques à l'assistance dans la mesure où les individus retiennent beaucoup mieux les belles histoires que les grandes théories. -
Networking : le plus sûr moyen de se tirer une balle dans le pied
Pour un cadre supérieur en transition de carrière, le Réseau représente 70 à 95 % des chances de retrouver un bon poste.
Voilà une excellente raison d'être particulièrement vigilant dans le suivi méticuleux de ses contacts Réseau. Car si rencontrer des interlocuteurs dans le cadre d'une recherche d’emploi est chose plutôt aisée, la discipline qui consiste à maintenir intelligemment un lien régulier avec eux fait toute la différence.
Voici un extrait de ce que j'ai écrit sur ce sujet dans "Recherche d'emploi : Secrets de Pros", publié chez Eyrolles en novembre dernier. -
Votre boulot demain : la course aux castings ?
La recherche d'un bon job est une affaire de casting car chaque recrutement détermine une sélection entre plusieurs candidats pour un rôle particulier.
Et demain ? Comment le Travail va évoluer ? Et comment les carrières vont devoir s'adapter ? -
Comment rencontrer les chasseurs de têtes qui ne veulent surtout pas vous voir
Beaucoup de chercheurs d'emploi ne comprennent pas pourquoi les chasseurs de têtes refusent de les rencontrer. Ils constatent amèrement que ces dénicheurs de talents qui les appelaient régulièrement lorsqu'ils étaient en poste, ne veulent même pas les prendre au téléphone maintenant qu'ils sont "en transition de carrière". Et, dans cette période difficile de recherche d'emploi qu'ils vivent, ils perçoivent cette attitude comme du mépris alors que ce n'est que le mode de fonctionnement habituel de ces professionnels du recrutement.
