Vous connaissez les vœux Orbi et Urbi ? Non ?
Si, si, vous connaissez. Car vous allez constater que, comme tout le monde, vous en avez déjà reçus.
Et que vous vous êtes posé la question : est-ce que je réponds ?

Les vœux de fin d'année constituent la cure de vitamines annuelle du Networking. Tous les spécialistes s'accordent pour considérer que cette "cérémonie" représente une formidable opportunité pour se reconnecter à son réseau, prendre des nouvelles et en donner.

Désormais, il est admis que les voeux peuvent s'échanger de différentes façons :

- courrier traditionnel avec une carte de la société, d'une association caritative ou personnelle

- courriel avec ou sans image (en évitant l'animation insupportable, svp) 

- sms

- téléphone (directement ou via un message téléphonique (sans hurler svp)

- en face à face

Idéalement, les vœux doivent être personnalisés. Il est important que la personne qui les reçoit comprenne que le message a été concocté, taillé et ciselé pour elle. 

Or, il arrive de plus en plus souvent que l'on reçoivent des vœux Orbi et Urbi, c'est à dire des vœux qui s'adressent à tout le monde et à toute la ville contenue dans un carnet d'adresses obèse.

La question que l'on se pose alors est : je réponds ou pas ?

J'ai fait un sondage autour de moi et cela donne des réponses variées. Trois tendances se dégagent.

1) Oui je réponds car ce sont des vœux qui me sont adressés de bon coeur et la moindre des politesse est de répondre.

2) Non je ne réponds pas car ce type de vœux n'a aucune valeur. C'est un genre de spam. L’émetteur est un gros paresseux, il n'a fait aucun effort, je ne vois pas pourquoi moi j'en ferai.

3) Cela dépend. Je vais répondre à certains. Pas à d'autres. Je fais le tri en fonction de ma proximité avec l'émetteur.

Et vous ? Que faites-vous ?