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Bonnes pratiques Réseau - Page 14

  • Se former tout en réseautant

    Einstein.pngSi vous voulez vous former tout en faisant du Réseau, il existe une solution: GERME.

    GERME est un organisme de formation créé en 1998 réservé aux cadres managers pour leur permettre de s’entraîner, de réseauter, de partager et d’enrichir leurs pratiques managériales au sein de leurs organisations.

     

    Devant le succès du groupe de Paris, un nouveau groupe parisien est en cours de création. Si cela vous intéresse, sachez que le vendredi 22 juin 2012 (matin) se tiendra la réunion constitutive.

    GERME s'organise autour de petits groupes de formation composés d’une vingtaine de membres, de proximité géographique mais d’univers différents.

    GERME adopte une pédagogie « sur mesure » puisque chaque groupe définit son propre programme de formation sur des problématiques communes.

     

    Ce programme est composé de deux parcours annuels de 4 jours chacun. Un parcours comprend 3 journées de formation avec l’intervention d’un expert (référencé par GERME) sur le thème choisi, et une journée atelier/entraînement pour progresser ensemble par des échanges et une mise en pratique.

     

    Ce parcours de formation est financé par l’entreprise du manager. Il est réservé aux personnes en poste.

    Il coûte 2 650 € HT et se déroule sur huit journées.

     

    A ce jour, les entreprises suivantes seront représentées dans le nouveau groupe en cours de constitution :

    PMU, AXA France, BNP PARIBAS, QUALIUM-INVESTISSEMENT, KILOUTOU, BAYARD PRESSE

     

    N'hésitez pas à contacter de ma part: Hélène ALBERTINI

    helene.albertini@efh.fr

    06 11 60 28 23

     

  • Le Réseau ne fonctionne pas pour les défaitistes sauf...

    Abandonne.jpgLe défaitiste est, dans le cadre d'une recherche d'emploi ou d'une carrière professionnelle, la personne qui se résigne à accepter la situation telle qu'elle se présente et n'essaye pas de la modifier.

    Le défaitiste est souvent prisonnier du passé. Il est incapable de se projeter positivement dans l'avenir. Il se contente de gérer le présent, n'attend rien du futur et ressasse ses échecs passés.

    Cette sujétion aux fiascos - et au sort - a fait l'objet de travaux menés par Martin Seligman, célèbre psychologue américain. Ce dernier a conduit plusieurs expériences qui ont démontré la facilité avec laquelle nous apprenons et acceptons l'impuissance. Seligman a appelé ce phénomène: "l'impuissance acquise".

    Le problème est que chaque individu peut, à un moment ou à un autre de sa vie, entrer dans ce cercle vicieux que constitue "l'impuissance acquise". Il suffit quelquefois d'un licenciement, d'une déconvenue professionnelle ou personnelle pour initier ce phénomène. Nul n'est à l'abri.

    Si nous prenons l'exemple du chercheur d'emploi, il est clair que le choc d'un licenciement couplé à la difficulté et aux vicissitudes d'une recherche de job peuvent créer rapidement une attitude de défaitisme.

    Et, dans ce cas, le Réseau traditionnel ne fonctionne pas. Car ce dernier n'aide que ceux qui donnent envie...

    Alors que faire?

    D'abord, ne pas rester seul. Il faut rechercher l'aide d'un psychologue, mentor, coach, outplaceur, en fonction des circonstances.

    Ensuite, il est opportun de participer à un groupe de chercheurs d'emploi pour partager, discuter, progresser et se motiver au contact de pairs vivant la même situation.

    Enfin, il convient de rencontrer, dans le cadre du Réseau, des personnes qui sont passés par les mêmes ornières et qui s'en sont sortis: des chercheurs d'emploi aujourd'hui en poste.

    En évitant, bien sûr, les toxiques (heureusement rares)...

     

  • Prenez votre communication en main

    reseau,réseautage,networking,herve bommelaer,bommelaerUn jour, au début des années 2000, j'ai tapé sur Google le nom d'un cadre dirigeant en phase de transition de carrière que j'accompagnais. Et, à ma stupéfaction, j'ai vu que la seule chose que le Net mentionnait sur lui, c'était qu'il était: "un esclavagiste"… Gloups!

    Pour exister, il faut communiquer. Pour avoir une communication efficace, il convient de la contrôler.

    La communication doit constituer une priorité dans votre action de Networking. Commencez par vous concentrer sur un seul message, une seule idée, un seul concept. Pour cela, il est indispensable d’être clair, en amont, sur votre objectif, votre projet, votre positionnement et vos cibles. Mais énoncer le bon message ne suffit pas, l’impact de ce dernier dépend de la forme qu’on lui donne. Tous les grands communicants le savent. Il vous faut trouver les mots clés et la façon forte, unique et originale de faire passer votre message principal. Et puis répéter, répéter et répéter encore ce dernier car la répétition construit la mémorisation.

    Ne laissez à personne d’autre que vous le soin de diffuser et contrôler votre propre image. C’est à vous d’en représenter le vecteur principal, autant par vos actions que via votre discours. Sachez que la plupart du temps, vos collègues, vos pairs et vos clients ne feront que reprendre vos propos (en espérant qu’ils ne les déforment pas trop). À vous donc de faire passer les bons messages. Et bien sûr, le contrôle de votre image passe aussi par la Toile. Que dit-on de vous sur le Net ? Vérifiez-le régulièrement en faisant une recherche sur Google, 123 people ou webmii : écrivez-y vos prénom et nom et regardez le résultat. Et corrigez le tir si nécessaire!

     

  • Cailloux, vendeur et envie

    Mercredi dernier, chez l'Espace Dirigeants, nous avons fêté le rebond de cinq de nos clients. Chacun a eu l'occasion de faire un bref discours et voici 5 conseils que j'ai glanés pour vous.

    Flèche cible.jpgLes cailloux dans la rivière

    Marc a énoncé une métaphore intéressante: une recherche d'emploi ressemble à une longue marche dans une rivière parsemée de pierres. La pépite - le bon job - se cache derrière un caillou. Problème: on ne sait pas lequel. Il convient donc de retourner tous les pierres de la rivière pour trouver le poste rêvé. Et ne pas en négliger une seule.

    Vendeur de choc

    Marc a également comparé le chercheur d'emploi à un vendeur. En effet, un bon vendeur se prend un certain nombre de portes dans la figure avant de décrocher une vente. S'il se décourage rapidement ou s'il perd la foi dans son produit, il est préférable qu'il change de métier. C'est la même chose pour le chercheur d'emploi, il doit se lever tous les matins et faire son métier de prospecteur de job, avec confiance, énergie et persévérance. Et accepter le fait que la plupart des portes ne s'ouvrent pas ou se referment tristement.

    Donner envie

    Pierre, quant à lui, nous a expliqué que, si les compétences étaient une condition nécessaire pour décrocher un bon job, elles ne suffisaient pas. Son expérience de la recherche d'emploi lui a montré qu'il convenait surtout de donner envie à l'employeur de vous embaucher. Donner envie passe par le discours, le sourire, la confiance en soi, le mental, les idées, la motivation, le sens de l'écoute, la forme physique, l'énergie, l'assertivité, etc. C'est une discipline de tous les jours. 

     Réseau, réseau, réseau

    Henri a insisté sur l'importance du réseau et la nécessité de reprendre contact avec beaucoup de personnes de son entourage professionnel, tout particulièrement ceux que l'on a pas vus depuis longtemps. Il a expliqué comment son activation du réseau était montée en puissance et communiqué le résultat obtenu au bout de quatre mois de recherche: deux contrats de travail qui arrivent par la poste, le même jour. 

     Projet de coeur

    Last but not least, Olivier a conseillé de prendre le temps de bien savoir ce que l'on veut faire avant de commencer sa recherche d'emploi. Pour illustrer son propos, il a raconté comment il a pris trop rapidement un poste dans la continuité de celui qu'il avait quitté quelques mois auparavant. Et la façon dont il s'était rendu compte que cela ne lui convenait pas. Pour finalement prendre la décision de se lancer, avec succès, dans la reprise d'entreprise.

     

  • Le savon et la mousse

    Savon.jpgDans votre vie professionnelle, que vous soyez en recherche d'emploi, en poste ou en développement de business, vous devez être visible.

    Pour illustrer mon propos, j'utilise souvent la métaphore du savon et de la mousse.

    Si vous êtes un excellent professionnel dans votre secteur et que personne ne vous connaît, vous n'êtes qu'un savon sans mousse. C'est d'autant plus embêtant que c'est la mousse que l'on repère en premier - et de loin - pas le savon.

    Je connais beaucoup de personnes de valeur qui n'ont pas compris l'importance de la mousse. Certains considèrent même que c'est inconcevable d'en produire. Ils ont tort.

    Le professionnel en recherche d'emploi doit se rendre visible auprès des décideurs qu'il a ciblés. Cette démarche constitue un des facteurs clés de succès de son action de Networking. Elle passe par des rencontres avec des connecteurs, des veilleurs, des influenceurs et des informateurs. Elle consiste également à se rendre visible  auprès des chasseurs de têtes, sur les réseaux sociaux, dans la presse professionnelle et via tous les outils de communication pertinents.

    Un cadre supérieur ou dirigeant en poste doit également développer sa visibilité en interne et en externe. C'est à lui de s'y atteler car ce ne sont pas ses patrons, pairs ou autres DRH qui vont le faire à sa place. Il lui faut quitter son costume de bon élève appliqué et apprendre à gérer son image professionnelle. Aujourd'hui,le savoir-faire n'est plus suffisant, il doit s'accompagner du faire-savoir. 

    De même, le consultant indépendant (ou en cabinet conseil) ne développera pas son business s'il reste ensablé dans la discrétion et l'anonymat. Je connais ainsi d'excellents professionnels qui n'arrivent pas à faire décoller leur chiffre d'affaires car ils ne savent pas se rendre visible. Ils se concentrent sur l'augmentation de la taille du savon au lieu de s'intéresser à la façon de générer un volume de mousse important.

    Bien entendu, dans le monde professionnel, il existera toujours de minuscules savons qui produisent beaucoup de mousse. Mais, rassurez-vous, une fois plongés dans le bain de l'action, ils ne tiennent pas la distance. Parallèlement - et c'est très ennuyeux - d'excellents savons passent à coté de ce réflexe essentiel du moussage. Si vous ne savez pas le faire, n'hésitez pas à vous faire aider.

    En définitive, si le savon (vos compétences, votre expertise, votre expérience, etc.) constitue un pré requis de votre réussite, votre capacité à créer une belle et volumineuse mousse en représente le complément indispensable.