UA-41594785-1 Google

Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Tout sur le Reseau. En recherche d'emploi, en poste et en développement de Business - Page 44

  • Wanna Be, Never Was, Is, Was, Has Been

    Joueur de baby.pngDans le Réseau et la vie professionnelle, nous connaissons tous des has been. Nous nous en moquons gentiment sans nous douter que nous sommes peut être déjà considérés comme des has been par des plus jeunes que nous dans notre métier...

    Le concept de has been est un bon moyen de réfléchir à son positionnement actuel par rapport à son objectif professionnel (d'où l'importance d'avoir un objectif).

    Vous pouvez, en effet, être:

    Un Wanna Be: c'est à dire une personne qui a le potentiel d'obtenir ce qu'il vise. C'est un bon positionnement mais attention de ne pas rester trop longtemps dans cette catégorie...

    Un Never Was: c'est le professionnel qui n'a pas atteint son objectif et qui risque de ne jamais l'atteindre. Si vous êtes dans cette catégorie, il est opportun de réfléchir à une nouvelle orientation, un nouveau métier, etc.

    Un Is: c'est le "roi du pétrole"; c'est la catégorie reine où, dans l'absolu, il faut être. On ne peut l'atteindre qu'en passant par l'étape Wanna Be et, attention, on peut en sortir sans s'en rendre compte. Et avoir beaucoup de mal à y revenir...

    Un Was: c'est un ancien Is. Mais rien n'est perdu pour lui car il peut redevenir un Is. Soit dans le même domaine, soit dans un autre univers. C'est une question de choix, d'énergie et de persévérance.

    Un Has Been: c'est un Was qui dure et dont le retour au Is est de plus en plus compromis.

    François Hollande, dans son métier, est un bon exemple d'un Wanna Be qui est devenu un Is en devenant Premier Secrétaire du PS. Puis il est tombé dans le Was et certain l'avaient ensuite rapidement classé dans la case Has Been.

    Erreur! Il a su revenir en force dans le Is. Pour cinq ans. Comme quoi, rien n'est jamais joué.

     

  • Check List avant décollage

    réseau,bommelaer,networkingLe cadre qui se retrouve brutalement licencié commet généralement l'erreur de se précipiter sur son réseau pour conjurer le sort. Il se jette sur ce dernier comme le naufragé sur une bouée. Il l'utilise souvent hélas comme un réceptacle de sa colère et de son angoisse. Et, en procédant ainsi, il grille des contacts utiles et se carbonise auprès de son premier cercle.

    Chaque contact Réseau est un fusil à un coup. Il n'existe pas une deuxième chance de laisser une première bonne impression.

    En d'autres termes, l'activation du Réseau dans le cadre d'une recherche d'emploi consécutive à un licenciement doit s'effectuer quand la personne est 100% prête. Il faut que le projet professionnel soit clair, les cibles identifiées, la stratégie validée, les outils affûtés et le message verrouillé. et surtout, il est indispensable que le candidat soit moralement au top.

    Il en est de même pour le cadre en poste qui décide d'activer le Réseau pour atteindre le but qu'il s'est fixé. La réussite de son action de Networking dépend en majeure partie de la qualité de sa préparation.

    Bien entendu, il ne s'agit pas d'attendre des mois et des mois avant de se lancer. Il est simplement indispensable de ne pas bêtement se précipiter.

    Avant de décoller le pilote fait le plein de carburant, établit le plan de vol et effectue sa checklist. En Réseau, c'est exactement la même chose. Cela constitue la meilleure garantie pour arriver à bonne destination.

    PNC à vos postes! Paré à décoller?

  • Se former tout en réseautant

    Einstein.pngSi vous voulez vous former tout en faisant du Réseau, il existe une solution: GERME.

    GERME est un organisme de formation créé en 1998 réservé aux cadres managers pour leur permettre de s’entraîner, de réseauter, de partager et d’enrichir leurs pratiques managériales au sein de leurs organisations.

     

    Devant le succès du groupe de Paris, un nouveau groupe parisien est en cours de création. Si cela vous intéresse, sachez que le vendredi 22 juin 2012 (matin) se tiendra la réunion constitutive.

    GERME s'organise autour de petits groupes de formation composés d’une vingtaine de membres, de proximité géographique mais d’univers différents.

    GERME adopte une pédagogie « sur mesure » puisque chaque groupe définit son propre programme de formation sur des problématiques communes.

     

    Ce programme est composé de deux parcours annuels de 4 jours chacun. Un parcours comprend 3 journées de formation avec l’intervention d’un expert (référencé par GERME) sur le thème choisi, et une journée atelier/entraînement pour progresser ensemble par des échanges et une mise en pratique.

     

    Ce parcours de formation est financé par l’entreprise du manager. Il est réservé aux personnes en poste.

    Il coûte 2 650 € HT et se déroule sur huit journées.

     

    A ce jour, les entreprises suivantes seront représentées dans le nouveau groupe en cours de constitution :

    PMU, AXA France, BNP PARIBAS, QUALIUM-INVESTISSEMENT, KILOUTOU, BAYARD PRESSE

     

    N'hésitez pas à contacter de ma part: Hélène ALBERTINI

    helene.albertini@efh.fr

    06 11 60 28 23

     

  • Le Réseau ne fonctionne pas pour les défaitistes sauf...

    Abandonne.jpgLe défaitiste est, dans le cadre d'une recherche d'emploi ou d'une carrière professionnelle, la personne qui se résigne à accepter la situation telle qu'elle se présente et n'essaye pas de la modifier.

    Le défaitiste est souvent prisonnier du passé. Il est incapable de se projeter positivement dans l'avenir. Il se contente de gérer le présent, n'attend rien du futur et ressasse ses échecs passés.

    Cette sujétion aux fiascos - et au sort - a fait l'objet de travaux menés par Martin Seligman, célèbre psychologue américain. Ce dernier a conduit plusieurs expériences qui ont démontré la facilité avec laquelle nous apprenons et acceptons l'impuissance. Seligman a appelé ce phénomène: "l'impuissance acquise".

    Le problème est que chaque individu peut, à un moment ou à un autre de sa vie, entrer dans ce cercle vicieux que constitue "l'impuissance acquise". Il suffit quelquefois d'un licenciement, d'une déconvenue professionnelle ou personnelle pour initier ce phénomène. Nul n'est à l'abri.

    Si nous prenons l'exemple du chercheur d'emploi, il est clair que le choc d'un licenciement couplé à la difficulté et aux vicissitudes d'une recherche de job peuvent créer rapidement une attitude de défaitisme.

    Et, dans ce cas, le Réseau traditionnel ne fonctionne pas. Car ce dernier n'aide que ceux qui donnent envie...

    Alors que faire?

    D'abord, ne pas rester seul. Il faut rechercher l'aide d'un psychologue, mentor, coach, outplaceur, en fonction des circonstances.

    Ensuite, il est opportun de participer à un groupe de chercheurs d'emploi pour partager, discuter, progresser et se motiver au contact de pairs vivant la même situation.

    Enfin, il convient de rencontrer, dans le cadre du Réseau, des personnes qui sont passés par les mêmes ornières et qui s'en sont sortis: des chercheurs d'emploi aujourd'hui en poste.

    En évitant, bien sûr, les toxiques (heureusement rares)...

     

  • Prenez votre communication en main

    reseau,réseautage,networking,herve bommelaer,bommelaerUn jour, au début des années 2000, j'ai tapé sur Google le nom d'un cadre dirigeant en phase de transition de carrière que j'accompagnais. Et, à ma stupéfaction, j'ai vu que la seule chose que le Net mentionnait sur lui, c'était qu'il était: "un esclavagiste"… Gloups!

    Pour exister, il faut communiquer. Pour avoir une communication efficace, il convient de la contrôler.

    La communication doit constituer une priorité dans votre action de Networking. Commencez par vous concentrer sur un seul message, une seule idée, un seul concept. Pour cela, il est indispensable d’être clair, en amont, sur votre objectif, votre projet, votre positionnement et vos cibles. Mais énoncer le bon message ne suffit pas, l’impact de ce dernier dépend de la forme qu’on lui donne. Tous les grands communicants le savent. Il vous faut trouver les mots clés et la façon forte, unique et originale de faire passer votre message principal. Et puis répéter, répéter et répéter encore ce dernier car la répétition construit la mémorisation.

    Ne laissez à personne d’autre que vous le soin de diffuser et contrôler votre propre image. C’est à vous d’en représenter le vecteur principal, autant par vos actions que via votre discours. Sachez que la plupart du temps, vos collègues, vos pairs et vos clients ne feront que reprendre vos propos (en espérant qu’ils ne les déforment pas trop). À vous donc de faire passer les bons messages. Et bien sûr, le contrôle de votre image passe aussi par la Toile. Que dit-on de vous sur le Net ? Vérifiez-le régulièrement en faisant une recherche sur Google, 123 people ou webmii : écrivez-y vos prénom et nom et regardez le résultat. Et corrigez le tir si nécessaire!