Tous les spécialistes de la gestion de carrière s’accordent pour considérer que le Réseau est un atout clé pour réussir sa carrière, trouver un bon job, traverser les crises sans trop de casse et détecter les opportunités d’évolution. Le problème réside dans le fait que beaucoup de réseauteurs font des erreurs de débutants dans cet art difficile mais ô combien important. Voici une liste non exhaustive des pires pratiques en matière de Networking :
Le réseautage kleenex
Le profiteur qui utilise les contacts réseau quand il en a besoin et les jette quand ils ne lui servent plus.
Le réseautage torticolis
La personne intéressée qui ne fait du Networking qu’avec des personnes placées plus haut que lui et qui méprisent ses pairs et ses « inférieurs ».
Le réseautage cocooning
Le réseauteur prudent qui limite son action au petit cercle capitonné et douillet de ses amis proches et de ses intimes.
Le réseautage « à la hussarde »
La personne qui harcèle ses interlocuteurs sans relâche en effectuant des demandes maladroites et inopportunes.
Le réseautage « salon de thé »
L’individu hyper-sociable qui fait du réseau sans objectif et sans rien demander aux autres.
Le réseautage chef comptable
Le networker qui comptabilise ce qu’il donne et ce qu’il reçoit. Et qui a toujours l’impression qu’il donne plus qu’il n’obtient.
Le réseautage de clones
La personne qui ne réseaute qu’avec ses clones sans se rendre compte qu’il est devenu hémiplégique.
Le réseautage invisible
Le réseauteur inquiet qui désire être le moins visible possible dans le Réseau en appliquant le principe « Pour être heureux, vivons caché ».
Le réseautage souriphile
Le roi de l’ordinateur et du Net qui se contente de contacts virtuels et ne rencontre jamais personne en face à face.
Le réseautage pas du tout
L’isolé qui croit que la compétence technique est suffisante pour préserver son job et lui assurer la carrière qu’il vise.