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  • Toujours plus d'informations sur les associations de chercheurs d'emploi

    outplacement,associations,emploi,recherche,jobs,alumni,cadresA la suite de mon dernier post intitulé "Hommage aux associations de chercheurs d'emploi", j'ai reçu un certain nombre de commentaires sympathiques et quelques questions auxquelles je me fais un plaisir de répondre via ce billet.

    J'insiste une nouvelle fois sur le fait que ces associations réalise un formidable travail de professionnalisation des cadres en recherche d'emploi (chercher un poste, c'est un job de pro) et de solidarité bienveillante. Il suffit de les rencontrer et de voir tout ce qu'elles mettent en oeuvre pour s'en convaincre.

    Je n'oublie pas dans mon palmarès, mais dans une catégorie différente et complémentaire, le rôle crucial que jouent les associations d'alumni de grandes écoles. Elles aussi participent en effet activement et efficacement au retour à l'emploi de nombreux cadres.

    Vous trouverez une liste de ces associations sur jobfinder.fr.
    L'inscription à cette plateforme est gratuite et il n'est pas nécessaire de prendre l'abonnement payant pour avoir accès à la liste des associations et aux liens donnant accès à chaque site.
    Dans cette liste vous trouverez les associations à Paris, en région parisienne et en province.
    Bien entendu, cette liste n'est pas exhaustive. Aussi, merci d'écrire à contact@jobfinder.fr pour signaler les associations de recherche d'emploi de cadres qui doivent absolument y figurer !

    Merci d'avance.

    Hervé Bommelaer

     

     

  • Vers une société plus associationniste

    réseau,associations,bommelaerSociologue et professeur à l'université Paris-Descartes, Robert Sue est un des grands spécialistes français de la société civile. Dans son dernier ouvrage "Sommes-nous vraiment prêts à changer? Le social au coeur de l'économie", il défend l'idée d'un modèle de société d'intelligence collective et de performance du monde associatif. Explications.

     Robert Sue considère que, contrairement à ce que pensent certains beaux penseurs, notre lien social ne cesse de se renforcer. Car nous assistons à l'émergence d'une société de la connaissance dans laquelle l'essentiel de nos savoirs vient des contacts entre les personnes. Pour lui, la crise financière sonne le glas d'un système en faillite: "La crise ne résulte pas seulement des défaillances d'un vieux monde qui se meurt mais aussi d'un nouveau monde qui tarde à s'imposer, faute d'un mode d'emploi adapté."

    L'individu et le groupe sont au coeur de ce changement. Les règles changent. Par exemple: "La plupart des DRH en conviennent: le diplôme est une facilité de sélection des candidats, nullement une assurance de réussite, laquelle dépend désormais davantage des aptitudes personnelles et des capacités d'adaptation et d'implication dans le milieu professionnel."

    Selon lui, l'économie de demain consistera moins à executer et reproduire. Elle sera centrée sur "la production de nouveaux agencements, de nouvelles façons de faire ou de nouveaux biens, en mobilisant des compétences qui elles-mêmes, doivent constamment évoluer." Conséquence: l'individu doit cultiver sa propre employabilité grâce à l'accès à un environnement plus intelligent, plus dense en informations et en réseaux sociaux.

    Robert Sue considère donc que, dans cette transformation en cours de notre société, le monde associatif représente un levier particulièrement performant. Pour lui, il constitue un gisement majeur de compétences transversales et individuelles requises par les entreprises. Il cite Peter Drucker qui écrivait, il y a vingt ans: "Vous voulez que votre entreprise réussisse? Traitez-la sur le mode associatif". Le Réseau et les associations de toutes natures ont un rôle clé à jouer pour établir le nouveau contrat social nécessaire à notre société. Le problème, c'est de leur en faire prendre conscience. Rapidement si possible, il y a urgence.  

  • La force du groupe

    Groucho Marx a écrit: "Pour rien au monde je ne voudrais intégrer un club qui m'accepterait comme membre." Et il a fini seul et ruiné.

    A une époque où l'avenir est tout sauf visible, il est grand temps de choisir un investissement sûr: les associations. Par exemple les associations d'anciens élèves, celles d'anciens d'entreprises, les groupements professionnels, les clubs de professionnels, etc. Il faut faire partie de ces groupes qui facilitent les contacts, les échanges, la solidarité et l'entraide.

    Mais être inscrit ne suffit pas. Encore faut-il se montrer actif et s'impliquer. Ce n'est pas parce que vous avez payé votre cotisation qu'il faut vous asseoir et attendre sagement que l'association vous apporte sur un plateau ce que vous cherchez. N'oubliez pas que les membres fantomes sont mal vus dans ces instances, au même titre que les profiteurs.

    Alors participez. Proposez des idées, animez des événements et prenez-y du plaisir. En agissant de la sorte, et pour peu que vous ne soyez pas le seul à vous démener ainsi, l'association dans laquelle vous oeuvrez n'en deviendra que plus efficace.

    J'anime souvent des conférences sur le Networking pour des associations et, à chaque fois, je suis frappé par l'énergie et l'impulsion que ces réunions dégagent.

    Dans les mois et les années qui viennent, les mieux armés seront les mieux entourés. Alors, entourons-nous.network 65.jpg