L'heure des vœux a sonné ! A vos fichiers, vos e-mails, vos cartes de vœux !
Bonjour les yeux rouges, les crampes à la main, la langue coupée par les enveloppes à lécher, le manque d'inspiration et les erreurs d'envoi.  

Avouons-le, envoyer ses vœux à son réseau constitue une activité chronophage et particulièrement ardue.
Comment être sûr de n'oublier personne ?
Comment sortir des banalités d'usage ?
Comment marquer les esprits ?
Ce travail réclame de la créativité et une bonne dose d'énergie. Il exige également de la précision et de la méthode pour éviter les grosses bourdes.
Quelques exemples vécus de "boulettes" :
1) j'ai ainsi reçu la carte de vœux d'une personne de mon réseau en double exemplaire. Mais les deux cartes n'avaient pas la même écriture...
2) J'ai répondu à la carte de vœux d'un contact et, oubliant qu'il avait tiré le premier, il a répondu à mes vœux en me renvoyant les siens...
3) j'ai reçu une enveloppe à mon nom, mais la carte qui se trouvait à l'intérieur commençait par un "Cher Robert" qui a priori ne me concernait pas...
4) sans parler de l'enveloppe qui arrive sans rien à l'intérieur...
5) et du mail avec l'animation qui prend une heure à se déclencher et qui fait bugger le PC...

Alors devant ce tableau apocalyptique, où est le plaisir ?

La satisfaction est simplement de recevoir des nouvelles de tout son réseau! Chaque jour, de mi-décembre à fin janvier, ce sont de nouvelles cartes de vœux - et de sympathiques mails - à ouvrir. Le bonheur est là, dans le message et dans l'entretien du lien.

Car, en définitive, la cérémonie des vœux constitue le meilleur moyen de se reconnecter à son réseau. 
Cela constituerait donc un erreur, une bévue, une bourde et une boulette de passer à côté.