Jeudi dernier Jobfinder a fêté son 5000ème abonné.
On parle bien du premier accélérateur de recherche d'emploi, c'est bien cela ? 
Mais, Jobfinder, c'est quoi au juste ce machin ?
Et cela vient de quel garage de la Silicon Valley ?
Et pourquoi, cela marche ?

Désolé de vous décevoir, Jobfinder a été conçu, non pas dans un garage de la Silicon Valley, mais dans un bureau cossu, orné de nains de jardins, du 8e arrondissement, sous le soleil de Paris, non loin des plages de la Seine.
Tout est parti du triste constat que tous les chercheurs d'emploi activant le Réseau, rencontrant les chasseurs de têtes, répondant à des annonces, détectant des pistes, et passant des entretiens de recrutement géraient leur recherche de job sur des tableaux excel du siècle dernier, plus ou moins bidouillés. S'ensuivaient une immense perte de temps, un redoutable manque d'efficacité, quelques ulcères,de grosses déprimes et beaucoup de frustration.
L'idée de départ des concepteurs de Jobfinder a donc été de mettre au point un outil simple et facile à utiliser pour gérer tous les éléments d'une recherche d'emploi sur une seule plateforme agile et intuitive, hébergée sur le cloud afin que tout candidat puisse l'utiliser de n'importe où et sur tout type de matériel.
Pourquoi Jobfinder a trouvé son public ?
Parce qu'en plus d'un tableau de bord, le chercheur d'emploi y trouve les conseils clés d'experts de l'outplacement, les outils nécessaires (modèles de mails, checklists, etc.) et les annuaires à jour de chasseurs français et étrangers pour accélérer sa recherche.
Plus prosaïquement, Jobfinder connaît le succès car il répond au besoin du chercheur d'emploi français qui est confronté à un marché de l'emploi en grande partie caché où un travail de Réseau est indispensable. Or cette démarche de Networking est un marathon qui exige une organisation professionnelle et un suivi précis que seul aujourd'hui Jobfinder permet.
Le jour où le marché de l'emploi français deviendra fluide et transparent, Jobfinder, cet outil créé par des frustrés pour des frustrés,  disparaîtra. Ce n'est hélas pas demain la veille.